mars 2011 |
Le mûrier, 20 ans, a été conduit en "parasol",
les branches charpentières guidées à l'horizontale. Depuis quelques années la face supérieure des branches éclate et devient préoccupante. ![]() ![]() La seule explication plausible est l'horizontalité des branches, la sève subsiste alors que les premiers gels arrivent. Le mûrier est chez nous le dernier arbre à perdre ses feuilles, vers le 10 décembre. Que faire ? Sur les sites conseils les avis oscillent entre ciment, goudron de pin, et... mousse à injecter. Je tente le goudron de pin, il en faudrait une tonne, l'odeur en plus ! ![]() Depuis des générations les gens de la terre comblaient les trous des arbres avec du ciment, alors pourquoi pas. Je tente. ![]() cela va alourdir les branches, guère plus que la dizaine de boites de glue Pelt.... Opération relativement facile, les cicatrices sont pensées... ![]() ![]() goudron au pinceau sur les parties de branches perdant l'écorce. ![]() reste à attendre la période de rejet possible. ![]() |
l'année s'est passée normalement, sous l'ombre
fraîche.![]() |
janvier le ciment a bien résisté, quelques craquelures, des bords décollés. ![]() Cette fois colmatage au goudron de pin, dit de norvège. Opération assez facile au pinceau en liquéfiant le produit au bain marie. ![]() vue de dessus le design est étrange ! ![]() « Tant qu’il y a de la sève, l’arbre ne tombe pas. » Proverbe Québécois ![]() |
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